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lundi 15 septembre 2014

Un OVNI identifié par Rosetta sur la comète 67P ? (+ mise à jour)

Mystérieux Objet
Mystérieux point blanc ? [ESA]

Un OVNI identifié par Rosetta sur la comète 67P ?

La sonde Rosetta, lancée en 2004 à la poursuite de la comète 67P, est désormais à proximité de son objetif. Alors qu'elle s'apprête à larguer un laboratoire sur son sol glacé, elle vient de faire une étrange observation.



Au fur et à mesure que Rosetta se rapproche de la comète 67P/Churyumov Gerasimenko, la sonde Rosetta peut envoyer des photos de plus en plus précises du corps céleste.
Comète 67 P
La photo de la comète "Chury" (DR / ESA)
Sur l'une d'elle, récemment diffusée par l'Agence spatiale européenne (ESA), on distingue un étrange objet qui n'a pas tardé à mettre en émoi la communauté ufologique.

On peut en effet distinguer sur la partie supérieure de l'astre un mystérieux phénomène, comparable à un grain de riz, qui semble flotter en apesanteur au dessus du sol de la comète, surnommé aussi "Chury".
Aucune explicaton n'a été apportée pour le moment à cette étrange apparition. En s'approchant encore de la comète, Rosetta pourrait permettre de fournir des explications plus précises prochainement.



Et + De News :

 L’annonce du site d’atterrissage sur la comète 67P

 L’agence spatiale européenne vient de choisir le site d’atterrissage du module Philae de la sonde Rosetta sur la comète 67P : si tout se déroule correctement durant les prochaines semaines, il se posera le 11 novembre sur le petit lobe du noyau.

 Le site J, situé sur le petit lobe du noyau biscornu de la comète 67P Churyumov-Gerasimenko, a été choisi ce week-end comme site d’atterrissage principal pour le module Philae par les responsables de la mission européenne Rosetta. Crédits : ESA/Rosetta/MPS for OSIRIS Team MPS/UPD/LAM/IAA/SSO/INTA/UPM/DASP/IDA

« Le choix de ce site est l’aboutissement d’un processus complexe, impliquant plus d’une centaine de personnes et qui a pu être mené à bien en quelques semaines seulement. Malgré la difficulté de trouver un site idéal selon tous les critères sur cette comète au relief particulièrement accidenté, il est remarquable que ce choix difficile ait pu être obtenu avec un consensus général entre tous les intervenants » affirmait dimanche après-midi Francis Rocard, responsable du programme Rosetta pour le CNES, à l’issue d’un intense week-end de travail qui venait de réunir à Toulouse plus de 70 scientifiques venus de toute l’Europe et des États-Unis. Fin août, les mêmes personnes avaient présélectionné 5 sites d’atterrissage dans une liste qui en comptait une dizaine. Depuis, les sites avaient été scrutés sans relâche par les instruments de la sonde Rosetta, qui orbite à présent à près de 29 km de distance autour du noyau de la comète 67P Churyumov-Gerasimenko.
Désigné par la lettre J dans la liste initiale, le site sélectionné à l’unanimité ce week-end se situe sur le petit lobe du noyau, la tête du canard pour reprendre l’image évoquée en juillet lorsque la structure bilobée était apparue sur les images prises par le téléobjectif de Rosetta. Pour Stephan Ulamec, responsable de l’atterrisseur Philae au DLR German Aerospace Center : « Comme nous l’avons vu sur les dernières images à haute résolution, le noyau est un monde merveilleux et impressionnant. Scientifiquement c’est passionnant, mais sa forme le rend particulièrement difficile d’accès. Aucun des sites présélectionnés ne remplit tous les critères opérationnels à 100 %, mais le site J est manifestement la meilleure solution. »



 La zone de 1 km2 centrée sur le site J montre une majorité de terrains avec des pentes de moins de 30° ce qui est indispensable pour que Philae ne se renverse pas lors de l’atterrissage. De plus, les scientifiques qui ont compté les blocs de toutes dimensions visibles sur les différents sites estiment qu’il y en a plutôt moins sur J ; c'est un argument très important car le module Philae tombera sur la surface sans pouvoir modifier sa trajectoire balistique et s’il heurte un gros bloc à l’impact et se retourne s’en sera terminé de sa mission au sol ! La période jour/nuit et l’ensoleillement du site J sont bons et permettront de recharger régulièrement la batterie secondaire. Par ailleurs, les calculs de navigations effectués au SONC (CNES, Toulouse) montrent que la descente de Philae devrait durer 7 heures environ, ce qui n’empiétera pas trop sur le temps de fonctionnement de sa batterie principale, qui est d’une soixantaine d’heures, et permettra à chacun des 10 instruments de Philae de fonctionner au moins une fois au sol. Il faut noter que certains instruments seront activés durant la descente et que des images seront prises régulièrement et relayées vers la Terre par Rosetta. Enfin, Philae devrait heurter la surface à la vitesse de 0,95 m/s (3,4 km/h), soit dans la limite de la résistance mécanique de sa structure, et s’y ancrer aussitôt pour ne pas rebondir dans l’espace étant donnée la très faible force d’attraction de ce tout petit corps du Système solaire.

Les scientifiques qui étaient réunis ce week-end à Toulouse ont également choisi un site de secours pour remplacer le site J si les observations détaillées des prochaines semaines révélaient des défauts insoupçonnés aujourd’hui. Après de longs débats, c’est finalement le site C qui a été retenu car il offre un très bon profil d’illumination et semble moins recouvert de blocs potentiellement dangereux que le site B avec lequel il était en concurrence. Pour les scientifiques, le défaut de ce site de secours est qu’il ne permettra pas un bon fonctionnement de l’instrument CONSERT qui doit tenter de réaliser une tomographie du noyau. Mais, si les investigations poussées qui seront menées durant les prochaines semaines ne révèlent aucune contre-indication, le site C ne sera pas nécessaire. Le 26 septembre, l’ESA devrait confirmer la validité du site J, ainsi que la date d’atterrissage qui, à ce jour, est toujours programmé le 11 novembre.

Si vous voulez en savoir plus sur la réunion de ce week-end à Toulouse, vous pouvez lire ce post sur le blog du CNES.

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