Et si nos fruits et légumes, pour
croître harmonieusement, avaient surtout besoin de bonnes ondes ? Depuis
30 ans, le physicien Joël Sternheimer étudie l’effet de certaines
séquences de sons sur des cultures. Et ça marche…
A l’heure où Emmanuel Giboulot, viticulteur à Beaune, a été condamné
pour avoir refusé de traiter chimiquement ses ceps de vigne contre le
risque d’une maladie appelée la flavescence dorée, certains de ses
collègues expérimentent des méthodes singulières. Michel Haury est
propriétaire d’un vignoble dans le Bordelais.
Pour lutter contre l’esca,
un champignon qui tue les ceps par apoplexie, il diffuse de la musique.
7 minutes, 1 à 2 fois par jour.
Depuis l’interdiction du traitement à
l’arsénite de sodium, toxique pour l’homme et pour l’environnement, le
fléau proliférait.
« Le résultat est stupéfiant, témoigne le vigneron dans Sud-Ouest. La maladie n’a plus évolué sur les pieds comme on aurait dû s’y attendre et aucun nouveau cas ne s’est déclaré. »
Les végétaux seraient-ils donc sensibles à certaines musiques ? ...
Les végétaux seraient-ils donc sensibles à certaines musiques ? ...
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