Entretien avec l'extraterrestre (partie 1)
Il y a deux domaines sur lesquelles je reste toujours particulièrement prudent et mesuré, je parle du channeling et je parle comme ici, des révélations sur la vie extra-terrestre. J'en parle ici car Helio sur Bistro Bar Blog fait un très bon travail de recherche très pertinent. D'un autre côté, Matilda
O’Donnell MacElroy, lorsqu'elle fait ses révélations, est tout de même d'un âge respectable (83 ans) et j'ai du mal à croire qu'elle puisse se lancer ainsi dans le fake. Et puis après tout c'est bien possible ! Alors à chacun de se faire son avis...
L'article initial est probablement issu du blog de la diffusion initiale alieninterview qui a servi de support à la révélation.
"Copies de deux Lettres, des Transcriptions militaires Top Secret, et des Notes Finales de Matilda O’Donnell MacElroy, infirmière dans l’US Army Air Force, affectée au 509ème Escadron de Bombardiers, sur la Base Militaire Aérienne de Roswell, au Nouveau-Mexique, en 1947. Dans ses Lettres, Matilda O’Donnell MacElroy affirme que les transcriptions sont un enregistrement exact d’une série d’entretiens qu’elle a conduits avec un extraterrestre, dans l’exercice de ses fonctions d’infirmière de vol au sein de l’US Army Air Force. En Juillet et en Août 1947, Matilda a interrogé le pilote d’un vaisseau qui s’est écrasé à proximité de Roswell, Nouveau-Mexique, le 8 Juillet 1947."
Voilà les quelques lignes d'introduction à ce livre dont le titre anglais est "Alien interview", publié par Lawrence Spencer.
Matilda O'Donnel MacElroy a gardé pendant 60 ans les documents concernant cet
entretien et les a envoyés à un éditeur en 2007. Elle était âgée
de 83 ans et savait qu'elle quitterait bientôt cette terre.
Le livre est paru aux USA en 2008, avant la déclassification des documents par
le gouvernement américain sur une partie du dossier OVNI (voir la
présentation du livre de Marc St Germain aux Éditions Nouvelle Terre), ce qui lui apporte une certaine crédibilité. On sait maintenant qu'il y a bien eu
le crash de vaisseaux à Roswell et que des corps extraterrestres ont
été récupérés.
J'ai parcouru le livre en anglais sur
CE SITE.
Mais je n'ai traduit, étalés sur plusieurs articles, que des passages,
dont quelques
entretiens, car le livre est très long. Vous pourrez lire le reste sur
la version du livre publiée en français en 2014 si vous le souhaitez (la
couverture du livre sera publiée dans la quatrième et dernière partie).
Vous pouvez aussi lire ce qui suit comme un récit de
science-fiction. Voici ce qu'écrit l'auteur dans ses notes finales :
"La plupart des gens ne croiront rien de tout ça, j'en suis sûre. Cela semble trop incroyable. Aucune personne 'raisonnable' ne voudrait en croire un mot. Cela semble cependant 'incroyable' à un IS-BE [voir explication de ce terme ci-dessous] dont la mémoire a été effacée et remplacée par de fausses informations au sein de l'illusion contrôlée électroniquement de la prison planétaire. Nous ne devons pas permettre que l'apparente non-crédibilité de notre situation nous empêche de la confronter à la réalité."
"La plupart des gens ne croiront rien de tout ça, j'en suis sûre. Cela semble trop incroyable. Aucune personne 'raisonnable' ne voudrait en croire un mot. Cela semble cependant 'incroyable' à un IS-BE [voir explication de ce terme ci-dessous] dont la mémoire a été effacée et remplacée par de fausses informations au sein de l'illusion contrôlée électroniquement de la prison planétaire. Nous ne devons pas permettre que l'apparente non-crédibilité de notre situation nous empêche de la confronter à la réalité."
L'extraterrestre, dont l'infirmière
parle au féminin, nomme les terriens des "IS-BE", ce qui
veut dire en abrégé "Immortal Spiritual Beings"
(Êtres spirituels immortels). Je garderai ce terme dans la
traduction. De même que pour alléger, je nommerai l'infirmière par
son seul prénom, Matilda.
Traduit par Hélios
**********************
Extrait de la lettre de Matilda à l'éditeur
(…) Quand l'information d'un crash
parvint à la base, M. Cavitt, un officier du renseignement, me
demanda de l'accompagner sur le site du crash en tant que chauffeur
de son véhicule, et pour apporter si nécessaire une aide médicale
d'urgence à d'éventuels survivants.
J'aperçus donc brièvement l'épave d'un
vaisseau spatial extraterrestre, ainsi que les restes de plusieurs
membres de l'équipage extraterrestre à bord du vaisseau, qui
étaient déjà morts.
À notre arrivée, j'appris qu'un
membre de l'équipage à bord du vaisseau avait survécu au crash et
qu'il était conscient et apparemment indemne. L'extraterrestre
conscient n'avait pas une apparence exactement semblable à celle des
autres.
Aucun personnel présent ne pouvait
communiquer avec le survivant, car l'être ne communiquait pas
verbalement ou par un quelconque signe reconnaissable. Pourtant, en
examinant si le "patient" portait des blessures, je
détectai et compris immédiatement que l'être extraterrestre
tentait de communiquer avec moi par "images mentales", ou
"contact télépathique", projeté directement depuis son
esprit.
Je rapportai immédiatement ce
phénomène à M. Cavitt. Comme aucune autre personne présente ne
pouvait capter ses pensées et que l'extraterrestre semblait capable
et prêt à communiquer avec moi, il fut décidé, après une brève
consultation avec un officier gradé, que j'accompagnerai
l'extraterrestre survivant dans son transfert à la base.
C'était en partie dû au fait que
j'étais infirmière et pouvait m'occuper des besoins physiques de
l'extraterrestre, et aussi jouer le rôle de présence rassurante.
J'étais après tout la seule femme du site et la seule qui n'était
pas armée. Je fus par la suite assignée en permanence au rôle de
"compagne" de l'extraterrestre.
Ma tâche était de communiquer avec
l'extraterrestre et de m'entretenir avec elle et de faire un rapport
complet de tout ce que j'allais découvrir aux autorités. On me
fournit ensuite des listes spécifiques de questions rédigées pour
moi par le personnel militaire et civil, que je devais "interpréter"
pour l'extraterrestre et enregistrer ensuite les réponses aux
questions.
J'accompagnai aussi en permanence
l'extraterrestre durant les analyses médicales et tous les autres
examens auquel il était soumis par les membres des multiples agences
du gouvernement.
On me promut au rang de sergent-major
pour améliorer mon niveau de sécurité. Ma solde augmenta aussi en
passant de 54 dollars à 138 dollars par mois pour cette affectation
si inhabituelle. J'ai mené à bien ces responsabilités du 7 juillet
à fin août 1947, date à laquelle l'extraterrestre "décéda"
ou quitta son "corps", comme vous le lirez dans mes notes.
Bien qu'on ne m'ait jamais laissée
entièrement seule avec l'extraterrestre, car il y avait toujours du
personnel militaire, des gens de l'agence de renseignement et divers
autres officiers présents de temps à autre, j'ai eu un accès et
une communication ininterrompus avec l'être extraterrestre pendant
presque six semaines.
Ce qui suit est une vision d'ensemble
et un résumé de mes souvenirs personnels de "conversations"
avec le pilote de vaisseau extraterrestre, que j'en suis venu à
connaître sous le nom de "Airl".
Je sens qu'il est de mon devoir
aujourd'hui, date anniversaire de sa "mort" ou de son
départ il y a soixante ans, de révéler ce que j'ai appris de mon
interaction avec "Airl" durant ces six semaines dans le
meilleur intérêt des citoyens de la Terre.
Bien qu'ayant servi comme infirmière
dans l'Army Air Force, je ne suis ni pilote, ni technicienne. De
plus, je n'ai eu aucun contact direct avec le vaisseau spatial ou
autres matériels récupérés sur le site du crash à ce moment-là
ou par la suite. On doit prendre maintenant en considération que la
compréhension de mes communications avec "Airl" sont
basées sur ma propre aptitude subjective à interpréter la
signification des pensées et images mentales que j'ai pu percevoir.
Notre communication ne s'est pas faite
en "langage parlé", au sens conventionnel. En fait, le
"corps" de l'extraterrestre n'avait pas de "bouche"
lui permettant de parler. Notre échange était télépathique. Au
début, j'avais du mal à comprendre Airl très clairement. Je
pouvais capter des images, des émotions et des impressions, mais il
m'était difficile de les exprimer verbalement. Après qu'Airl ait
appris la langue anglaise, il lui a été possible de concentrer plus
précisément ses idées à l'aide de symboles et d'une
interprétation de mots que je pouvais comprendre. Apprendre
l'anglais a été une faveur qu'elle m'a accordée. Ce fut plus à
mon avantage qu'au sien.
À la fin de nos entrevues, et de plus
en plus depuis, je me suis retrouvée plus à l'aise avec la
communication télépathique. Je suis devenue plus experte pour
saisir les pensées de Airl comme si c'étaient les miennes. D'une
certaine façon, ses pensées sont devenues mes pensées. Ses
émotions sont mes émotions. Cela se limite malgré tout à sa
volonté et à son intention de partager son propre univers personnel
avec moi. Elle peut être sélective sur le genre de communication
que j'ai été autorisée à recevoir d'elle.
Elle a de même gardé pour elle son
expérience, sa formation, son éducation, ses relations et ses buts.
Chapitre
un – mon premier entretien avec l'extraterrestre
(NOTE PERSONNELLE DE MATILDA)
"J'avais déjà passé plusieurs heures avec l'extraterrestre quand elle fut ramenée à la base. Comme je l'ai mentionné, on m'a dit de rester avec elle, car j'étais la seule personne de nous tous qui pouvait comprendre ses messages. Je ne comprenais pas ma capacité à "communiquer" avec l'être. Je n'avais jamais fait auparavant d'expérience de communication télépathique avec quiconque.
La communication non-verbale vécue
était comme la compréhension qu'on pourrait avoir quand un petit
enfant ou un chien tente de vous faire comprendre quelque chose, mais
en beaucoup, beaucoup plus direct et puissant ! Même si aucun
"mot" n'était dit, ou de signes manifestés, l'intention
des pensées était évidente pour moi. J'ai réalisé plus tard que,
bien qu'ayant reçu l'idée, je n'interprétais pas forcément sa
signification exacte.
Je pense que l'être extraterrestre ne
voulait pas discuter de questions techniques, en raison de la nature
de son statut d'officier et de pilote ayant le devoir de maintenir la
sécurité et la confidentialité requises par sa propre "unité"
ou organisation. Tout soldat capturé par "l'ennemi" dans
l'exercice de ses fonctions a bien sûr le devoir de garder une
information vitale, même pendant un interrogatoire ou sous la
torture.
Mais j'ai toujours senti malgré tout
que l'extraterrestre ne cherchait pas vraiment à me cacher quoi que
ce soit. Je n'ai jamais ressenti cela. Ce qu'elle me communiquait m'a
toujours paru honnête et sincère. Mais je suppose qu'on ne peut
jamais être sûr à 100 %. J'ai nettement senti que je
partageais un "lien" unique avec l'extraterrestre. C'était
une sorte de "confiance" ou d'empathie qu'on a avec un
patient ou un enfant. Je pense que c'est parce que l'extraterrestre a
pu capter que je m'intéressais vraiment à elle et n'avais aucune
intention malfaisante à son égard, ni n'aurais permis qu'on lui
fasse du mal, dans la mesure de mes moyens.
Je parle de l'extraterrestre en disant "elle". En fait, l'être n'était sexualisé en aucune façon, aussi bien sur le plan physiologique que physique. "Elle" avait une présence et un comportement plutôt féminin. Pourtant, en termes de physiologie, l'être était asexué et ne présentait aucun organe reproducteur interne ou externe. Son corps faisait plus penser à celui d'une "poupée" ou d'un "robot". Il n'y avait aucun organe interne, car le corps n'était pas fait de cellules biologiques. Il n'y avait pas de système de "circuit" ou de système nerveux qui parcourait son corps, mais je ne comprenais pas comment tout cela fonctionnait.
Je parle de l'extraterrestre en disant "elle". En fait, l'être n'était sexualisé en aucune façon, aussi bien sur le plan physiologique que physique. "Elle" avait une présence et un comportement plutôt féminin. Pourtant, en termes de physiologie, l'être était asexué et ne présentait aucun organe reproducteur interne ou externe. Son corps faisait plus penser à celui d'une "poupée" ou d'un "robot". Il n'y avait aucun organe interne, car le corps n'était pas fait de cellules biologiques. Il n'y avait pas de système de "circuit" ou de système nerveux qui parcourait son corps, mais je ne comprenais pas comment tout cela fonctionnait.
En stature et en apparence, le corps
était très petit. Une taille d'environ un mètre. La tête était
anormalement grosse par rapport aux bras, aux jambes et au torse, qui
étaient fins. Il y avait trois "doigts" sur chacune des
deux mains et des deux "pieds" qui étaient plus ou moins
préhensiles. La tête ne présentait aucun "nez" ou
"bouche" ou "oreilles" fonctionnels. J'ai su
ensuite qu'un officiel de l'espace n'en a pas besoin car l'espace n'a
pas d'atmosphère conductrice du son. C'est pourquoi le corps ne
contient pas d'organes sensoriels auditifs. Il n'a pas besoin non
plus de consommer de nourriture, d'où l'absence de bouche.
Les yeux étaient très grands. Je n'ai
jamais pu déterminer le degré exact d'acuité visuelle dont les
yeux étaient capables, mais j'ai observé que son sens de la vue
devait être extrêmement affiné. Je pense que la pupille des yeux,
très sombres et opaques, pouvait aussi détecter des ondes ou des
particules au-delà du spectre lumineux. Je suppose que cela pouvait
inclure la gamme entière du spectre électromagnétique, mais je
n'en suis pas sûre.
Quand l'être me regardait, son regard
semblait pénétrer jusqu'au fond de moi, comme s'il avait une vision
aux rayons X. Je trouvais cela un peu embarrassant au début, jusqu'à
ce que je réalise qu'il n'y avait aucune intention sexuelle. En
fait, je me demande si elle s'était même demandée si j'étais un
homme ou une femme.
Il devint tout à fait évident en très
peu de temps passé avec l'être que son corps n'avait pas besoin
d'oxygène, de nourriture ou d'eau, ni d'aucune source extérieure de
nutrition ou d'énergie. Comme je l'appris plus tard, cet être se
procurait sa propre "énergie" pour animer et faire
fonctionner son corps. Cela faisait un peu bizarre au début, mais je
m'habituais à cette idée. C'est un corps vraiment très très
simple. Comparé aux nôtres, il n'y a pas grand-chose.
Airl m'expliqua qu'elle n'était pas
mécanique, comme un robot, et pas biologique non plus. Elle est
auto-animé en tant qu'être spirituel. Techniquement parlant, d'un
point de vue médical, je dirais que le corps de Airl ne pouvait même
pas être appelé "vivant". Son corps de poupée n'est pas
une forme de vie biologique avec des cellules et tout le reste.
Sa peau ou le genre de revêtement de
couleur grise qui lui servait de peau était soyeuse au contact. Le
corps était hautement tolérant aux changements de température, aux
conditions atmosphériques et à la pression. Les membres étaient
plutôt frêles, sans musculature. Dans l'espace, il n'y a pas de
gravité, donc très peu de force musculaire est nécessaire. Le
corps était utilisé presque entièrement dans un vaisseau spatial
ou dans des environnements sans gravité. Comme la Terre a une forte
gravité, le corps ne pouvait pas se déplacer très bien car les
jambes n'étaient pas vraiment adaptées à ce but. Les pieds et
mains étaient cependant très flexibles et agiles.
La nuit précédant mon premier
entretien avec l'extraterrestre, la zone s'était transformée en une
ruche bourdonnante d'activité. Il y avait une douzaine d'hommes
travaillant à installer des lampes et un équipement de prise de
vues. Une caméra avec micro et un enregistreur audio furent aussi
installés dans la "pièce d'interview". (Je ne comprends
pas pourquoi il faillait un micro, puisqu'il n'y avait aucune
communication verbale possible avec l'extraterrestre) Il y avait
aussi un sténographe et plusieurs personnes s'activant sur des
machines à écrire.
Je fus informée qu'un interprète
expert en langues étrangères et qu'une équipe de décryptage
avaient été envoyés par avion à la base pendant la nuit pour
m'assister dans mes efforts de communication avec l'extraterrestre.
Il y avait aussi du personnel médical – des spécialistes en
domaines variés – pour examiner l'extraterrestre. Et un professeur
de psychologie était là pour aider à formuler les questions et à
"interpréter" les réponses. Comme je n'étais
qu'infirmière, je n'étais pas considérée comme une interprète
"qualifiée", même si j'étais la seule ici à pouvoir
comprendre tout ce que pensait l'extraterrestre !
Il y eut de nombreuses conversations
entre nous par la suite. Chaque "entretien" aboutit à une
meilleure compréhension entre nous, comme j'en discuterai ensuite
dans mes notes. Voici la première transcription avec les réponses à
une liste de questions donnée par l'officier du renseignement de la
base, dont j'ai fait un compte-rendu immédiat au sténographe après
l'entretien."
(TRANSCRIPTION OFFICIELLE DE L'ENTRETIEN)
(TRANSCRIPTION OFFICIELLE DE L'ENTRETIEN)
TOP SECRET
Transcription officielle de l'US Army Air Force Roswell, 509ème Escadron de Bombardiers
SUJET : INTERVIEW DE
L'EXTRATERRESTRE, 9 juillet 1947
"QUESTION –
"Êtes-vous blessé ?"
RÉPONSE - NON
QUESTION – "De quelle assistance médicale avez-vous besoin ?"
RÉPONSE - D'AUCUNE
QUESTION – "Avez-vous besoin de nourriture ou d'eau ou d'une autre substance ?"
RÉPONSE – NON
QUESTION – "Avez-vous un quelconque besoin d'environnement, comme la température de l'air, le contenu chimique de l'atmosphère, la pression de l'air, ou l'élimination de déchets ?"
RÉPONSE – NON. JE NE SUIS PAS UN ÊTRE BIOLOGIQUE.
QUESTION – "Votre corps ou vaisseau spatial contient-il des germes ou une contamination qui pourrait nuire aux humains ou à d'autres formes de vie terrestres ?"
RÉPONSE – PAS DE GERMES DANS L'ESPACE.
QUESTION – "Votre gouvernement sait-il que vous êtes ici ?"
RÉPONSE – PAS POUR L'INSTANT.
QUESTION – " D'autres de votre espèce vont-ils venir vous chercher ?"
RÉPONSE – OUI
QUESTION – "De quelle assistance médicale avez-vous besoin ?"
RÉPONSE - D'AUCUNE
QUESTION – "Avez-vous besoin de nourriture ou d'eau ou d'une autre substance ?"
RÉPONSE – NON
QUESTION – "Avez-vous un quelconque besoin d'environnement, comme la température de l'air, le contenu chimique de l'atmosphère, la pression de l'air, ou l'élimination de déchets ?"
RÉPONSE – NON. JE NE SUIS PAS UN ÊTRE BIOLOGIQUE.
QUESTION – "Votre corps ou vaisseau spatial contient-il des germes ou une contamination qui pourrait nuire aux humains ou à d'autres formes de vie terrestres ?"
RÉPONSE – PAS DE GERMES DANS L'ESPACE.
QUESTION – "Votre gouvernement sait-il que vous êtes ici ?"
RÉPONSE – PAS POUR L'INSTANT.
QUESTION – " D'autres de votre espèce vont-ils venir vous chercher ?"
RÉPONSE – OUI
QUESTION –
"Quelle est la capacité des armes de votre peuple ?"
RÉPONSE – TRÈS DESTRUCTRICE.
RÉPONSE – TRÈS DESTRUCTRICE.
Je ne saisissais pas la nature exacte
du genre d'armes ou d'armement qu'ils pouvaient posséder, mais je
n'ai pas senti d'intention malveillante dans sa réponse, juste
l'énoncé d'un fait.
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