D’énormes secrets, non révélés, sous Gizeh… ! Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre…
L'article est un peu long et je reste toujours mesuré et circonspect sur ce genre de théories, mais ce qui est intéressant ici c'est L'ACTUALISATION en fin d'articles des informations sur l'énorme mur qui a commencé d'être érigé sur le plateau de Gizeh en une zone où normalement les touristes ne se rendent pas....
Le 28 novembre 2010, dans une
déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université
du Caire, le Dr Ala Shaheen dit à un auditoire : « Il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh. »
Cet article fait suite à mon article précédent sur les réeles raisons de la crise Egyptienne.
Source : www.elishean.fr/?p=29215
Interrogé par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est ce que la pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI ?
Le Dr Shaheen, restant vague a répondu : « -Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui « n’est pas de ce monde ».
Les délégués à la conférence sur
l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr Shaheen a
refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’ovni ou les
extraterrestre. Or, fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les
russes avaient lancés un projet, le projet Isis, afin de récupérer les connaissances
cachées dans la grande pyramide. Ces connaissances auraient été
stockées dans une bibliothèque appelée la chambre des connaissances.
Finalement les équipes russes auraient récupéré des documents ainsi que le corps d’un extraterrestre.
On sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les pyramides un vaste complexe, et des vestiges gênants d’une science très avancée, comme le prouve le magazine Nexus n° 33.
Extrait :
Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte,
de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très
représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et
philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la
Grande Pyramide par le corps du Sphinx.
Cette entrée, aujourd’hui obturée par le
sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du
colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze
dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était
protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée
maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.
Dans le ventre du Sphinx étaient
creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande
Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la
Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide
retournait inévitablement à son point de départ.
Les antiques cylindres scellés des
Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu
souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par
le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.
Ce texte ancien remarquable, dont il ne
reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne
peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière,
le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué.
Les notes sumériennes fournissent une
description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature
était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des
passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et
alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.
Ces quelques dernières années un
séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR)
établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès
des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la
surface du sol à Gizeh et ailleurs. Le nouveau système de repérage fut
lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de
27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont
situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash,
Sakkarah, et Dashour.
Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels
et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement
comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau. Avec cet
important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont
capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée
probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
L’attention est attirée sur trois lieux
secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en
direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide
Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble
d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres
carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à
Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.
Sous les pyramides, les vestiges gênant d’une science avancée
Il n’est nul doute, que dans les
pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets
cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constants, la vérité de notre monde, sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifiée et mensongère…
Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg.
De nombreux témoignages historiques ou
contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le
plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement
de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, de lacs, et d’une
grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut
niveau de technicité. L’information relayée par les médias jusqu’ en
1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.
L’histoire oubliée des pyramides…
Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience
de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des
équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des
Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des
enseignements de l’Ecole de Mystères. Ce qui s’est déroulé sous les
sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels
d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières
années le confirment.
Le district de l’Oasis Fayoum, situé à
seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis,
présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche
vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les “maîtres des
chasses royales”, pêchaient et chassaient au boomerang.
Le Lac Moeris avoisinait autrefois
l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe,
décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”. Celui-ci comprenait
1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que
l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer. Selon les prêtres du
Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”, destinés à
sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les
salles souterraines.
Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle :
-Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux,
émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est
difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient
recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre
blanc de façon exquise, etait entourée d’une colonnade. Près de l’angle
où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de
grands portraits sculptés d’ animaux dont l’entrée s’effectuait par un
souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages
souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis. Ces dernières étaient
celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine “Gizeh
anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en
Egypte et en Nubie, 1757, page 152.
Beaucoup d’auteurs antiques confirment
la description par Hérodote des passages souterrains reliant les
pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un
doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée
traditionnellement. Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains
piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la préhistoire gravé
dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides.
La tradition locale arabe du 19ème
siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx,
renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée
par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien,
selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la
“tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor” et,
de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois “Le
Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des
Descendants d’Horus”. Ammianus Marcellinus, autre historien latin du
quatrième siècle fit des découvertes supplémentaires au sujet de
l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de
la Grande Pyramide.
Des inscriptions, dont les Anciens
soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines
galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure
profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les
inondations.
Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom
Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long
passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le
Nil et cite une “étrange chose” bloquant l’entrée, côté fleuve.
Il rapporte l’épisode suivant :
A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un
groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une
salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en
allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le
chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé.
Apprenant que d’étranges événements se
déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir
la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée,
puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”.
Si l’histoire est exacte, ce manque de
poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh
d’une science extraordinaire.
Selon Massoudy, au 10ème siècle, des
statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les
souterrains situés sous la Grande Pyramide. Anciennes de mille ans, on
peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on
voit de nos jours dans les films du genre “La Guerre des Etoiles”.
Massoudy raconte que les automates
étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils
détruisaient tout “sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être
admis”. Massoudy prétendait que “les manuscrits des Sages et les acquis
dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils
pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de
ceux qui pourraient un jour les comprendre”.
C’est une information phénoménale, dans
la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des
personnes “dignes” aient vu les mystérieuses salles souterraines.
Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à décrire de
crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais
cependant je les ai vues”.
Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh.
Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres
mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à
l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.
Hérodote affirme que les prêtres
égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de “l’organisation de
salles souterraines” par les créateurs originels de Memphis. Les plus
anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de
complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant
le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la
découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le
site en 1993.
La nouvelle fut annoncée publiquement
dans un documentaire intitulé “Le Mystère du Sphinx”, vu par 30 millions
de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous
du Sphinx est bien connue. Les autorités égyptiennes rendirent compte
d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un
article de journal sous le titre : « Mystérieux Tunnel dans le Sphinx «
Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont
découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du
monument mystérieux. Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi
Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien.
Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi
? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention
d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse
un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les
pattes étendues du Sphinx et sa queue.
L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail
de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette
croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les
initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était
l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les
Pyramides par des passages souterrains en étoile.
Ces plans furent dressés à partir
d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de
l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on
prétend, s’introduisit dans “une salle secrète au-dessous du sol” et y
trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.
Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes
de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils
révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception
oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes.
(Ces plans sont inclus dans la section “Le Plan Principal” à la fin du
livre.)
En 1935, la connaissance des Ecoles des
Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui
fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires
s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal.
Le complexe de Gizeh présentait les
éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure
unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du
Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.
De gros titres d actualités…
Chez les mystiques ou les membres des
écoles de mystères Egyptiens, la tradition enseignait que la Grande
Pyramide était importante à plusieurs titres. En dépit du fait que l’on
n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles secrètes de l’Egypte
pré-chrétienne maintenaient qu’elles en connaissaient bien le tracé
intérieur.
Elles n’avaient de cesse de prétendre
que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre funéraire, à
l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique faisant partie du
rituel initiatique.
Selon les traditions mystiques, on
pénétrait progressivement à l’intérieur à des niveaux variés grâce à des
passages souterrains. On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin
de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé
représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi. Peu à
peu, les découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des
Écoles des Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une
connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le
Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le
Temple du Sphinx).
En 1935, au moment de l’aboutissement de
très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages
dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires
remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées.
Un article de presse, écrit et publié
alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire
sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre.
L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim
Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de
l’Université du Caire qui fit la découverte. Il déclarait : « Nous
avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les
anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la
deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui
mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce
souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125
pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales.«
A peu près au même moment, les médias
internationaux publiaient davantage de détails concernant la découverte.
Le complexe de connexions souterraines fut construit à l’origine entre
la Grande Pyramide et le Temple des hommes-Solaires, car la Pyramide de
Khephren fut une structure plus tardive et superficielle.
Le souterrain et ses salles adjacentes
furent excavés dans le substratum rocheux ; une prouesse véritablement
extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers
d’années…
Il y a davantage à ajouter à l’histoire
des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse
décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des
hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée.
Le passage avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de
publier cet article particulier.
Les découvertes conduisirent le Dr Selim
Hassan et d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que
l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu
appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à
dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.
Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure
A peu près à mi-chemin entre le Sphinx
et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux,
chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif.
Ces puits portent le nom de “Tombeau de Campbell”, sur les cartes
maçonniques et rosicruciennes, et “ce complexe”, dit le Dr Selim Hassan,
“se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre
cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres.” Certaines
d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit,
scellés, de 6 mètres de haut.
La découverte avançait et, dans l’une
des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à
une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle
était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.
Elle fut appelée “Tombeau d’Osiris” et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant “ouverte pour la première fois”.
Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara :
« Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir
évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de
plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds…«
Lors du déblaiement de la partie sud du
souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail
rend le visage très expressif.
Selon un autre article de l’époque, la
statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite
comme “un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne
d’Amenhotep.”
Aujourd’hui personne ne sait où se
trouve cette statue. L’article décrit aussi d’autres salles et chambres
souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés.
Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa “Chapelle de l’Offrande”, creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide.
Au centre de la chapelle, trois piliers
verticaux décorés forment un triangle. Ces piliers sont des points d’une
haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence.
On peut en conclure qu’Ezra, l’auteur originel de la Torah (397 av. JC),
connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh…
Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques.
Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch,
figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain
constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des
salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme
triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu).
La description des salles d’Enoch était
identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à
l’est de la Grande Pyramide. Une antichambre ressemblant beaucoup à une
chambre funéraire, mais “sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation
et de réception” fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de
la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente,
taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de
l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide).
Au centre de la salle se trouve un
sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une
accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont
admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des
emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de
récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un
parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans
l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).
On découvrit d’autres pièces
souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des
colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures
murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues.
Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait
d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux
splendides couleurs. On prit des photos et un auteur et chercheur qui
les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se souvint qu’il fut
“profondément impressionné” par les images. On ne sait pas où sont
aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la
rumeur, des collectionneurs privés les passèrent en fraude hors
d’Egypte.
Ces détails ne représentent qu’une
petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en
1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à
Gizeh (en 10 volumes). Cependant, il ne représente qu’un fragment des
édifices présents sous le terrain des Pyramides.
Pendant la dernière année du
désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante
découverte qui fut relatée par les médias internationaux. Les
archéologues responsables de la découverte furent “déroutés” par ce
qu’ils avaient sorti de terre : Une cité la plus merveilleusement
organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de
scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres
bâtiments y compris un palais.
Pourvu de voies navigables hydrauliques
souterraines, son parfait système de drainage rivalise avec d’autres
équipements modernes.
L’intrigante question qui en découle est : où est aujourd’hui cette cité ?
Son emplacement secret fut récemment
révélé à un petit groupe de personnes qui obtint la permission
d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur d’un immense
réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh s’étendant loin en
direction de l’est sous le Caire. Son accès principal s’effectue par des
escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du Sphinx descendant
jusqu’à la caverne sous le lit du Nil.
L’expédition fit descendre des groupes
électrogènes et des radeaux pneumatiques et circula le long d’une
rivière souterraine qui menait à un lac d’un kilomètre de large. La
cité, blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de
larges sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne.
On découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Eglise Copte du vieux Caire.
D’après les récits d’habitants “vivant sous Terre”, relatés par les livres de la Genèse, d’Asher et d’Enoch, il est possible que cette cité se soit anciennement nommée Gigal.
On fit un court métrage de l’expédition,
et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs)
qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. Au départ, il
était prévu de présenter les séquences au grand public, mais, pour
certains motifs, cela fut différé…
Un objet sphérique en cristal, à
plusieurs facettes, de la taille d’une balle de base-ball, fut rapporté
de la cité, et son caractère surnaturel fut prouvé lors d’une conférence
récente en Australie. Profondément à l’intérieur de l’objet solide,
divers hiéroglyphes tournent lentement comme les pages d’un livre quand
celui qui tient l’objet en mains en fait mentalement la demande.
Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse…
Des recherches historiques du 20ème
siècle relatent que de stupéfiantes découvertes eurent lieu à Gizeh et
dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs
égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une autre cité
souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande Pyramide.
En 1964, on découvrit plus de 30 énormes cités souterraines dans l’ancien royaume turc de Cappadoce.
Une seule de ces cités contenait
d’immenses cavernes, des salles et des couloirs que les archéologues
estiment avoir appartenus à 2.000 propriétaires, offrant des conditions
d’existence à 8.000 ou 10.000 personnes. Leur existence même prouve de
façon évidente que beaucoup de mondes souterrains attendent d’être
découverts sous la croûte terrestre.
Les fouilles de Gizeh ont révélé des
passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité
souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les passages
souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre étape vers
la confirmation que le complexe a été soigneusement et spécifiquement
conçu dans sa totalité.
Démentis officiels…
Grâce aux fouilles du Dr Selim Hassan et
aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et
traditions des anciennes écoles de Mystères d’Egypte qui prétendaient
conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh atteignirent tous
le plus haut degré de vraisemblance. Toutefois, l’aspect le plus
énigmatique de la découverte des installations souterrainnes de Gizeh
est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et
les institutions universitaires. Celui-ci fut si obstiné que les
affirmations des Ecoles de Mystères furent mises en doute par le public
et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces aux fins de mystifier
les touristes.
Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972 :
‘’ Personne ne doit prêter la
moindre attention aux revendications saugrenues concernant l’intérieur
de la Grande Pyramide ou les corridors supposés ainsi que les temples,
les salles sous le sable entourant la Pyramide, faites par ceux qui
s’associent aux soi-disant cultes secrets ou sociétés occultes d’Egypte
et d’Orient. Ces choses existent seulement dans l’esprit
de ceux qui cherchent à attirer les amateurs d’énigmes, et plus nous
démentons l’existence de ces éléments, plus le public est conduit à
supposer que nous cherchons à cacher volontairement ce qui constitue un
des grands secrets de l’Egypte. Mieux vaut ignorer toutes ces
prétentions plutôt que de simplement les démentir. Toutes nos fouilles
dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de
quelques passages ou salles souterraines, temples, grottes, ou autres
choses du genre que ce soit, à l’exception du seul temple jouxtant le
Sphinx.’’
Cette ligne stratégique aurait pu suffir
à contenir l’opinion intellectuelle mais des déclarations officielles
démentant formellement l’existence de temples jouxtant le Sphinx avait
déjà été émises les années passées.
L’affirmation que chaque pouce de
terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été exploré en
profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx fut découvert
dans le sable et finalement ouvert au public. Sur des sujets échappant à
la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de
censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques tant occidentales qu’orientales.
Lampes perpétuelles…
En dépit de découvertes sensationnelles,
l’absolue vérité de l’histoire primitive Égyptienne demeure méconnue
dans une large mesure, d’où un territoire non cartographié. Il est dès
lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages
souterrains et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés,
mais une chose est sûre : à moins que les anciens aient eu la faculté de
voir dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément. La même
question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les
égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches
ardentes car les plafonds ne sont pas noircis.
D’après ce que l’on sait aujourd’hui, il
est possible d’estimer à au moins cinq kilomètres de passages sur 10 à
12 étages. Le Livre des Morts et les Textes des Pyramides font tous deux
des allusions frappantes aux “Constructeurs de Lumière”,
et cette extraordinaire description peut s’appliquer à un corps de
métier responsable de l’éclairage des zones souterraines de leurs
complexes.
Jamblique rend compte d’un fascinant
récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du
Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de
notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à
l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh.
Ils décrivirent leur expérience :
‘’ Nous arrivâmes à une salle. Quand
nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière
d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm),
situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il
brillait davantage… les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en
courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le
touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube
brilla de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière. Dans quelques
salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non. Nous
brisâmes l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté
qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes
(du mercure ?). Au fil du temps, les tubes lumineux commençèrent
progressivement à s’éteindre et les prêtres les enlevèrent pour les
entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au
sud-est du plateau. Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à
leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les
rallumer.’’
Une pratique courante des Egyptiens de
l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures
de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner
les décédés sur la voie les menant à “l’autre rive”.
Parmi les tombes proches de Memphis
(ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique) , on découvrit des
lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients
hermétiquement scellés, que la soudaine exposition à l’air libre
éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible.
Plus tard les Grecs et les Romains
maintenirent cette tradition et même la consacrèrent; non seulement avec
de réelles lampes, mais aussi par des reproductions miniaturisées de
terre cuite, ensevelies avec les morts. Quelques lampes furent protégées
dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour
lesquels l’huile d’origine fut retrouvée parfaitement conservée après
plus de 2.000 ans…
Il existe des preuves évidentes,
confirmées par témoins oculaires, que les lampes éclairaient tant que
les sépultures étaient scellées, d’autres rapportant qu’elles brûlaient
encore quand les caveaux furent ouverts des centaines d’années plus
tard. La capacité à composer un combustible qui se renouvelait de
lui-même aussi rapidement qu’il était consumé fut source d’un différend
considérable parmi les auteurs médiévaux, et de nombreux documents
existent, avec des ébauches d’arguments.
Après avoir dûment constaté l’évidence
même, il semble bien que les anciens prêtres-chimistes égyptiens
possédaient, dans l’éventail de leurs compétences, celle de manufacturer
de leurs mains des lampes qui brûlaient indéfiniment ou du moins
pendant des périodes considérables. De nombreuses autorités ont écrit
sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn Wescott estime le
nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et
H. P. Blavatsky à 173.
Bien que les différents auteurs
parviennent à des conclusions variées, une majorité admet l’existence
des lampes prodigieuses. Seuls quelques uns soutenaient que les lampes
brûlaient éternellement, mais beaucoup voulaient bien admettre qu’elles
pouvaient rester allumées plusieurs siècles, sans renouvellement du
combustible. On pensait généralement que les mèches de ces lampes
perpétuelles étaient faites d’asbeste tressée ou enroulée, que les
premiers alchimistes appelaient ” laine de salamandre”.
Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï.
Plusieurs formules de préparation de ce
combustible pour les lampes furent sauvegardées. Dans l’œuvre profonde
d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée, l’auteur recopie deux formules
compliquées, empruntées aux auteurs primitifs, d’un combustible qui “une
fois fabriqué et allumé, brûlera d’une flamme perpétuelle en tout lieu
de votre choix”.
Certains croient que les prétendues
lampes perpétuelles des temples étaient des dispositifs mécaniques
truqués, et l’on colporta des explications bien peu sérieuses. Il existe
en Egypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole
et certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à
un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou
plusieurs lampes. D’autres pensent que la croyance selon laquelle les
lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains
cas de vapeurs ressemblant à de la fumée qui se déversaient à l’entrée
des caveaux nouvellement dégagés. Des groupes qui y sont entrés par la
suite, ayant découvert des lampes répandues au sol, assurèrent qu’elles
étaient la source des vapeurs.
Il y eut quelques histoires bien
documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles non
seulement en Egypte mais aussi en d’autres parties du monde.
Montfaucon de Villars fit ce récit
fascinant de l’ouverture du caveau de Christian Rosenkreuz. Quand les
Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre fondateur 120 ans
après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle éclairant
brillamment dans une suspension au plafond. “Une statue en armure (un
robot ?) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la salle.”
Cela se rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide.
Un récit du 17ème siècle donne une autre version de ce robot.
Dans le centre de l’Angleterre, on
découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui bougeait quand un
intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. A cette époque,
le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi décida-t-on que le
tombeau était celui d’un initié Rose-Croix.
« Un campagnard découvrit le tombeau et
trouva l’intérieur brillamment éclairé par une lampe suspendue au
plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les
pierres du sol et, instantanément, une silhouette assise dans une lourde
armure commença à bouger. Elle se dressa de façon mécanique et frappa
la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la
découverte de la substance secrète entretenant la flamme.
On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable…
Un mur autour des pyramides
En 2002, de manière presque inaperçue
par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté d’une grille, a
été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début, Armin Risi a observé
la construction. Voici son premier rapport de la situation.
En mars 2002, j’ai entendu pour la
première fois parler qu’un mur serait construit autour du plateau des
pyramides et le terrain environnant. Des amis de retour d’Egypte,
avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur. Quand
le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne des
fondations qui conduit jusqu’au désert, il en a été empêché par des
gardiens armés. On leur a interdit de faire d’autres photos, ce qui nous
a tous rendus encore plus curieux. Qu’est-ce qui se passait ici ?
Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail…
Apparemment, tout d’abord ce sont les
fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans le sol, entremêlées
d’une suite d’une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm
deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement
renforcé ? Et pourquoi sur une longueur de plusieurs kilomètres ? Et
pourquoi les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des
angles très éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens du
pays se rendent ? Est-ce que l’on voulait cacher le plus longtemps
possible ce que l’on recherche par ici ?
La visite suivante en juillet 2002
montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante. Ici, on
travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d’une hauteur
d’environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.
Lors des visites en décembre 2002 et
février 2003, on pouvait constater ce que cette construction signifiait:
entre-temps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les
tiges en fer des grilles avaient été fixées.
En avril 2002 j’avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak,
de cette construction. A cette époque, il n’en avait pas encore entendu
parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena
de nombreuses photos. Sur son site web, le professeur Hurtak publia
l’estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d’environ 8
km2.
De plus, il relata que « l’installation
du mur est tellement gigantesque que dans ce but quelques bâtiments et
logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés. De ce
fait, il faut supposer que ce n’est pas seulement l’intérêt des
touristes qui est en jeu.
Ce que nous avons ici est un plan plus
grand, bien réfléchi qui inclut également les sites environnants et doit
sécuriser probablement des tombes souterraines, tunnels et
couloirs…etc. Le financement de ce mur viendrait des USA, il est
question, entre autre, de „Stanford University“
Quelles sont les motivations ? On sait
que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles ont eu lieu sur
le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été « radiographié » par sonde
acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques
mois. En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux
touristes. Pour des travaux de rénovation !
Serait-on en train de faire des
recherches à l’intérieur ? Ou les rumeurs concernant des souterrains et
espaces sous le plateau sont-elles fondées ? Des fouilles sont-elles
programmées dont le public ne doit rien savoir ?
Ce ne sont que des spéculations, mais en
tout cas cela vaut la peine de garder sous surveillance cette région
dans un proche avenir surtout par des chercheurs indépendants.
Armin Risi
Il paraitrait, selon plusieurs témoins, que depuis la construction de
ce mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et
isolé des curieux, des bruits de grosses machineries sont également
entendu, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement !
Une zone ou personne n’avait accès
jusqu’à présent, a été découverte également, les États-Unis exercent
une surveillance accrue sur une structure interne de la pyramide.
La chose la plus étonnante est que dans cette salle découverte il y avait une signature thermique importante, de la chaleur …
Et on mentionne la présence d’une «entité».
Des forces spéciales ont été déployées
aux alentours, et aux environ des 22, 23 avril cette entité inconnue est
apparut, très grande, et étant vêtue d’or, portant une coiffe
d’oiseaux. En consultant nos amis de la Geomatrix Gizeh, il semblerait
que ce soit Thoth !
La prophétie d’Edgar Cayce
Edgar Cayce, né en 1877 et mort en 1945,
son oeuvre est considérable. Elle se compose d’environ 14 256 lectures,
c’est à dire, de consultations et d’analyses données au cours d’une
sorte de sommeil très spécial, apparenté à une transe médiumnique.
« Bientôt viendra le temps des grands changements ; et dans trois
endroits différents, on exhumera les archives atlantes. Le Temple de l’Atlantide
surgira à nouveau. C’est alors qu’on mettra à jour le temple, ou plutôt
la salle des archives en Egypte, ainsi que les archives qui avaient été
cachées au coeur du pays atlante: elles pourront y être retrouvées (…) Ces archives forment un tout »
A propos de la découverte de cette salle des Archives en Egypte à Gizeh, Cayce dit encore :
»En ce qui concerne les archives
(géo)physiques, il sera nécessaire d’attendre que s’accomplisse le temps
de la désintégration de ce qui a été fait par les volontés égoïstes du
monde. Car rappelez-vous que ces archives ont été réunies dans l’optique
des changements mondiaux ».
Un autre homme, Giordano Bruno, fut lui aussi l’un des premiers à oser dire que l’univers
était infini et qu’il existait d’innombrables mondes habités … Giordano
Bruno est le premier à postuler, contre la doctrine de l’Église de
l’époque, résultat : Il fut brulé par l’église !!
A la lecture de sa condamnation au bûcher, Bruno commente : « Vous éprouvez sans doute plus de crainte à rendre cette sentence que moi à la recevoir. ».
Le 17 février 1600, il est mis nu, la langue entravée par un mors de
bois l’empêchant de parler et de crier, sur le Campo Dei Fiori et
supplicié sur le bûcher devant la foule des pèlerins venus pour le
Jubilé.
Tout semble lié au final, et tous les
mystères et secrets qui nous entourent, aussi bien sur terre que sous
terre, et même dans l’espace, seraient tous reliés par un fil
mystèrieux…
L’avis de Stopmensonges.com :
Comme je vous le vous le repete a longueur d’articles, rien de ce que l’on vous a enseigné n’est vrai. Tout est mensonges.
Les religions ont été créées pour
donner des réponses prédigérées pour vous empecher de creuser plus loin,
de chercher la vérité sur nos origines, les origines de la Terre, de
l’univers et de Dieu lui meme. Si vous connaissiez ces vérités vous ne
pourriez pas etre controlés.
Ceux qui détiennent ces secrets depuis plus de 3000 ans, les héritiés de l’école des secrets d’Egypte sont nos maitres, leurs symboles sont chez les franc macons, les eglises, les mosquées et les temples judaiques, aujourd’hui on les appelle La Cabale, ou les Illuminatis, avant ils portaient d’autres noms mais ce sont toujours les memes.
Ceux qui détiennent ces secrets depuis plus de 3000 ans, les héritiés de l’école des secrets d’Egypte sont nos maitres, leurs symboles sont chez les franc macons, les eglises, les mosquées et les temples judaiques, aujourd’hui on les appelle La Cabale, ou les Illuminatis, avant ils portaient d’autres noms mais ce sont toujours les memes.
Ce qui se cache sous le plateau de
Gizeh est l’héritage de l’humanité toute entiere et non pas celui de la
CIA, NSA, NASA, Bill Gates, Rotchild, Rockfeller, des religions
monothéistes et de tous leurs petits copains banquiers et autres.
Ouvrez les yeux et contemplez l’horreur du monde de mensonges et de manipulation dans lequel nous vivons.
La vérité nous libèrera.
C’est un combat de tous les jours, c’est notre devoir pour que nos enfants n’aient pas a vivre dans ce monde de mensonges.
Rejoignez les rangs des combatants de
la lumière (information, vérité), rejoignez les rangs des vainqueurs,
faites partie de ce mouvement historique qui changera la face du monde.
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